samedi 4 mai 2013


Petit matin d'automne. Le train de 7h43 pour San Miguel entre en gare, étonnament ponctuel. Le conducteur de la locomotive diesel, bruyante et poussive, dans sa cabine exiguë, a une main sur la manette de frein et tient son maté de l'autre. Pas de doute, je suis bien en Argentine.

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