jeudi 30 mai 2013

Mardi dernier j'ai eu mon numéro d'identité provisoire ("CUIM"), aujourd'hui jeudi on m'a attribué mon numéro (définitif) de CUIL (équivalent de numéro de sécurité sociale).
En rentrant à la maison par le 64 j'ai eu l'agréable surprise d'être accueilli comme tous les passagers par un cordial "¡buenas tardes!" du chauffeur du  "micro" (bus) N° 31, dont la sonorisation intérieure diffusait non pas une cumbia villera lancinante ou une retransmission de match de foot mais de délicates sonates pour piano.



vendredi 24 mai 2013

Je n'ai toujours pas de numéro de DNI (Document National d'Identité).

Ce matin 3ème visite au service des Migrations, accompagné par Guido, du Secrétariat des Relations Institutionnelles de la Faculté.

Après avoir fait la queue (mais courte, étant dans la catégorie NO MERCOSUR) et donné mes empreintes digitales

nous avons été reçus très aimablement par un des employés prénommé Santiago, qui m'a reconnu à la suite des deux visites antérieures (et il en a vu passer, du monde, en cinq semaines!).
Mon dossier est complet, tout est en ordre mais le numéro de CUIL (l'équivalent d'un numéro de sécurité sociale employeur) de la Faculté ne figure pas dans la base de données du service des migrations, ce qui bloque tout.
J'appellerai el Sr. Santiago lundi et si tout va bien retirerai mon DNI lundi ou mardi (cette fois-ci, sans rendez-vous)

samedi 4 mai 2013


Petit matin d'automne. Le train de 7h43 pour San Miguel entre en gare, étonnament ponctuel. Le conducteur de la locomotive diesel, bruyante et poussive, dans sa cabine exiguë, a une main sur la manette de frein et tient son maté de l'autre. Pas de doute, je suis bien en Argentine.

vendredi 3 mai 2013

La Direction Nationale des Migrations

Jeudi dernier j'ai fait chou blanc au service d'immigration: les papiers n'étaient pas les bons: chaque interlocuteur dit autre chose; cela dit à défaut d'être efficaces au moins ils sont aimables, ça change de la politique migratoire française.